De nombreuses études partielles concernant le microcrédit personnel existaient déjà. Mais il manquait une évaluation globale analysant plus précisément la pertinence et les limites du dispositif. Commandée par le Fonds de cohésion sociale, l’« Etude d’impact sur le microcrédit personnel garanti » (1), menée par l’économiste Georges Gloukoviezoff et le démographe Nicolas Rebière, vient de combler ce manque en rappelant, chiffres à l’appui, son utilité et en indiquant des amélioration possibles. Déclinée en neuf volets (enjeux, suivi, évolution du dispositif…), elle confirme tout d’abord son impact positif : la situation globale de huit emprunteurs sur dix s’est améliorée ou a été préservée – ce qui, compte tenu des sommes prêtées, se révèle particulièrement satisfaisant. L’étude avance également une série de recommandations.
Sur le volet technique, les préconisations
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