Leur public prioritaire diffère : les enfants pour la protection de l’enfance, les parents pour la médiation familiale. De même que leur finalité : exercer un suivi éducatif en vue d’assurer la sécurité (affective, éducative, matérielle…) de l’enfant pour la première, apaiser les conflits familiaux pour la seconde. Et pourtant, leurs effets se rejoignent. « Un enfant pâtit en général d’une séparation qui se déroule mal entre ses parents. Aussi reconstruire la communication parentale malgré les différends relève-t-il directement de l’intérêt de l’enfant », explique Jean-Marc Baudoin, responsable du Point rencontre-Médiation familiale de Châteauroux. Même constat pour David Pioli, coordonnateur du pôle « Droit, psychologie, sociologie de la famille » à l’Union nationale des associations familiales (UNAF) (1) : «
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