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« Etats généraux du travail social » : à marche forcée et sans réelle concertation

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Ni les moyens ni le calendrier arrêtés pour ces « états généraux » ne sont à la hauteur de l’ambition de « refonder le travail social », déplore l’Association nationale des assistants de service social (ANAS) par la voix d’Antoine Guillet, son vice-président, avec la participation de Didier Dubasque, administrateur, et d’Aurélie Antipot, secrétaire nationale. L’association demande un recentrage des débats sur le travail social – alors qu’ils ont tendance, estime-t-elle, à dévier vers les politiques sociales – et un allongement des délais fixés pour le processus.

« Prévus par le plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale (1) et initialement portés par le gouvernement, les “états généraux du travail social” sont annoncés comme une démarche de refondation du travail social associée à une réforme de la gouvernance territoriale de l’action sociale, à une campagne de valorisation des métiers du travail social ainsi qu’à une modernisation du dispositif de formation.

L’ANAS est membre du comité de pilotage national de ces “états généraux” au même titre que les autres or­ganisations profession

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