Recevoir la newsletter

La PJJ a un avenir si…

Article réservé aux abonnés

Le sénateur (PS) Jean-Pierre Michel, missionné par le Premier ministre pour formuler des préconisations sur la stratégie et les moyens de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) (1), devrait rendre son rapport en ce début d’année. Le président du tribunal pour enfants de Bobigny, Jean-Pierre Rosenczveig, expose ici les leviers sur lesquels il est, selon lui, possible d’agir pour assurer un avenir à cette institution en proie aux critiques et aux doutes. Des pistes qu’il a présentées au parlementaire en novembre dernier.

« La protection judiciaire de la jeunesse affiche deux objectifs : la réécriture de l’ordonnance du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante et le doublement des centres éducatifs fermés [CEF]. On peut s’interroger sur l’enjeu de ces objectifs et avancer des pistes plus en phase avec les besoins réels des juridictions et des jeunes.

Admettons la nécessité de toiletter et de moderniser une ordonnance tenue pour obsolète et inadaptée au seul prétexte qu’elle date de 1945. Plusieurs années de pilonnage politique et médiatique ont contribué à lui donner

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Vos idées

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15