« Alors aujourd’hui, 800 g de poireaux, 1 kg de pommes de terre, 1 salade, 13 mandarines, 5 pommes, 2 cardes, 800 g de carottes », annonce Yvon Correr, chargé de mission du Jardin de Cocagne angevin (1). Sous une serre bâchée de plastique transparent, à l’orée des parcelles que cultive l’association, quatre travailleurs et une employée en service civique sont installés sur une ligne de commande. Ils préparent les fruits et légumes destinés au nouveau programme d’aide alimentaire de la ville d’Angers : des produits frais récupérés parmi les invendus des agriculteurs de la région. Chacun compte et pèse ce qu’il doit ajouter dans la cagette qui glisse sur le tapis roulant. Le tout sera livré le lendemain sur l’un des 11 sites de distribution répartis dans la capitale de l’Anjou.
Mis en place il y a deux ans à l’initiative du centre communal d’action
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