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Accord sur la formation professionnelle : déceptions au sein de l’économie sociale

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S’ils saluent les mesures sur la sécurisation des parcours, ses acteurs s’interrogent sur le sort fait aux petites entreprises et aux salariés en insertion.

Déçue sur la méthode – elle n’a été auditionnée que tardivement sur le compte personnel de formation –, l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (UDES) l’est aussi sur le contenu de l’accord sur la formation professionnelle. Dans la nuit du 13 au 14 décembre, les partenaires sociaux sont parvenus à un accord national interprofessionnel (voir ce numéro, page 16), qui, après signature, devrait être traduit dans un projet de loi attendu en conseil des ministres le 22 janvier prochain.

La mutualisation fragilisée

Si elle se satisfait des mesures qui visent à renforcer l’« employabilité » des salariés, l’UDES rejoint les critiques de la CGPME sur celles relatives au financement. Seuls deux taux de contribution obligatoire subsistent selon l’accord – 0,55 % de la masse salariale (moins de dix salariés) et 1 % (plus de dix salariés). Pour les plans de formation, les entreprises, amenées à développer leur gestion des compéten

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