Lors de sa séance plénière du 6 décembre, le Conseil supérieur du travail social (CSTS) a adopté un avis préparé par sa commission « Ethique et déontologie » sur le « consentement éclairé ». Des préconisations particulièrement utiles pour les professionnels « au moment où la place accordée à la personne est devenue une préoccupation majeure des institutions sanitaires et sociales ainsi qu’une exigence réglementaire de plus en plus fréquente », comme le rappelle le conseil. Qui, par cet avis, « soutient l’ambition du travail social de rechercher l’accord des personnes et d’agir avec elles, au-delà même de ce que la loi exige ».
La nécessité de recueillir le consentement de l’usager après l’avoir éclairé a en effet été reconnue par la loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale et la loi du 4 mars 2002 sur les droits des mala
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