« Aujourd’hui, un jeune dans des conduites addictives, on ne le rencontre que sur le terrain de la maladie, donc du soin, ou de la loi, suite à une interpellation. A 17 ans, seuls 4 % des usagers réguliers de cannabis ont cherché de l’aide auprès d’un dispositif pour réduire ou arrêter leur consommation et à peine plus en ont parlé à leur famille [1]. On a des progrès à faire pour que les jeunes puissent partager leurs premières expériences d’usage, de produits illicites ou non, et éviter que certains se laissent aspirer », estime Jean-Pierre Couteron, président de la Fédération addiction. Autrement dit des progrès pour s’intéresser davantage à l’entrée dans l’addiction et la prévenir. Or c’est
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