Chaque année, environ 220 000 femmes ont recours à l’IVG et un tiers des 15-30 ans s’informent sur les questions de santé via Internet, indiquent les deux ministères. Or, jusqu’à présent, les sites anti-IVG étaient souvent mieux référencés sur la toile que les sites publics ou associatifs « pro-choix ». Le nouveau site gouvernemental entend donc garantir le libre choix des femmes en matière d’IVG grâce à l’accès à une information « de qualité », « sans angoisse ni culpabilisation », expliquent les services de Marisol Touraine et de Najat Vallaud-Belkacem. Il s’agit aussi de garantir un accès « potentiellement plus rapide » aux services d’information ou à un professionnel de santé, étant rappelé que la précocité permet de réaliser les IVG dans des conditions pl
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