Reconnaissance, confiance, dialogue… Le gouvernement « Ayrault » a-t-il amorcé un « virage » d’ampleur pour la vie associative ? C’est l’une des questions soulevées par l’Uniopss (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux), à l’occasion de sa conférence de presse annuelle de « rentrée sociale », le 24 septembre. Car entre le soutien affiché au secteur non lucratif et les contraintes budgétaires qui se poursuivent voire s’accroissent – dans les champs de l’aide à domicile, habilité justice, de l’hébergement ou de la prévention spécialisée notamment –, « la doctrine », selon le mot de Dominique Balmary, président de l’union, reste à éclaircir.
Parmi les textes qui témoignent d’une volonté de renouveler les rapports entre l’Etat et les associations : le projet de
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