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Le GCSMS, une formule qui fait des émules

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Même s’il reste encore peu développé, le GCSMS (groupement de coopération sociale et médico-sociale) est souvent cité en exemple en matière de stratégie de survie associative.

Face aux difficultés du secteur de l’aide à domicile, l’Aradopa-UNA de Reims (420 salariés) a décidé de ­mettre en commun son administration (ressources humaines, comptabilité-finance, qualité et communication-développement) avec une association plus petite située à Châlons-en-Champagne en constituant un GCSMS (1) : la nouvelle structure va salarier les personnels administratifs et fournir des prestations contre facturation. Objectif : le retour à l’équilibre budgétaire en 2014 avec des économies attendues de 100 000 €. « Nous avons opté pour cette formule car elle a de multiples avantages : aval de nos partenaires publics, conservation de l’autonomie des membres, non-assujettissement à l’impôt et possibilité pour d’autres acteurs médico-sociaux privés ou publics (CCAS, pharmacie, professions libérales…) de nous rejoindre », commente David Lemaire, son directeur général.

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