Après l’illettrisme en 2013, la santé mentale sera-t-elle la grande cause nationale de l’année 2014, comme le réclame un collectif d’associations soucieuses de mieux faire connaître le handicap psychique ? Si ces questions drainent encore beaucoup de préjugés au sein de la population, élus et professionnels de la psychiatrie ont pris conscience de la nécessité de travailler ensemble pour faire évoluer leurs regards et leurs pratiques. Vingt ans après la création des premiers conseils locaux de santé mentale (CLSM) à Givors (Rhône), à Paris (XVIIIe arrondissement) ou dans la banlieue est de Lille, ces instances partenariales sont de plus en plus nombreuses à éclore en France.
On en compterait
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?