Un plan d’action national et territorial pour contrecarrer la désaffection des séjours collectifs de vacances avec hébergement. C’est ce que propose une mission d’information constituée par la commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée nationale dans un rapport présenté le 10 juillet dernier (1). Insistant sur les « bienfaits » des centres de vacances sur l’éducation des jeunes et sur le tourisme, elle appelle plus particulièrement à « repenser le statut des animateurs » et dénonce sévèrement les difficultés générées par l’instauration d’un temps de repos obligatoire pour les animateurs occasionnels des centres de vacances et de loisirs sous contrat d’engagement éducatif.
« Les accueils collectifs de mineurs avec hébergement présentent la particularité d’être, pour la plupart, organisés par des associations sans but lucratif, souvent peu subventionnées », souligne le rapport. Depuis 1995, plusieurs facteurs ont contribué à la baisse de leur fréquentation : augmentation des tarifs des séjours et des transports, succès des accueils de loisirs sans hé
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