Comment pourrait se définir une société accessible aux personnes handicapées ? La réponse à la question posée par l’APAJH (Fédération des associations pour adultes et jeunes handicapés) lors de son congrès pourrait se résumer en un principe inverse : « la non-accessibilité est une discrimination ». Partant de là, les pistes extraites du rapport d’étape sur l’accessibilité universelle élaboré par la fédération s’apparentent, point par point, à la création d’un droit commun applicable à l’ensemble des citoyens, sans distinction.
• Le droit à l’intimité et à la vie affective. Cheval de bataille de nombre de militants, le respect de la vie affective apparaît comme un des derniers tabous du handicap. Il nécessite une formation des professionnels « souvent livrés à eux-mêmes dans ce domaine » face à des enjeux qui ne sont autres que « l’accompagnement à la sexualité et à la parentalité des personnes polyh
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