La réforme, bien qu’elle ait été annoncée en avril dernier (1), serait passée inaperçue sans la tribune d’une quarantaine de chercheurs, élus et autres responsables associatifs parue dans le journal Libération du 21 juin. A l’heure où tous les signaux sur la précarisation des jeunes sont au rouge, « le gouvernement s’apprête à officialiser le démantèlement du seul établissement public spécialisé sur ces questions, l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire [INJEP] », alertaient les signataires. Un paradoxe, alors que la jeunesse est justement un chantier prioritaire des politiques publiques ?
Selon un projet qui doit être examiné en comité interministériel pour la modernisation de l’action publique (MAP) le 17 juillet, l’Observatoire de la jeunesse et des politiques de jeunesse porté par l’institut doit être inté
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