Au contraire, notre rapport 2013 met en évidence la multiplication des difficultés que rencontrent les habitants des squats et bidonvilles en France. Beaucoup de mairies refusent encore de domicilier les familles rom, ce qui les empêche, par exemple, d’obtenir l’aide médicale de l’Etat. Des familles ont aussi dû faire face à des refus de scolarisation, comme à Ris-Orangis (Essonne) ou à Saint-Fons (Rhône) (3), où seule l’intervention du défenseur des droits a permis de faire respecter la convention internationale des droits de l’Enfant !
Le rapport note aussi de nombreux dysfonctionnements dont les bénévoles et les associations de terrain ont été les témoins
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