Afin de répondre aux principales interrogations liées à l’entrée en vigueur des emplois d’avenir, le 1er novembre dernier (1), la délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) diffuse un « questions-réponses » sur le régime de ces nouveaux contrats aidés (2). Alors que le dispositif peine à démarrer – 20 000 emplois d’avenir avaient été signés le 30 avril sur les 100 000 attendus d’ici à la fin de l’année –, ce « questions-réponses » apporte des précisions concrètes sur les modalités de recours aux emplois d’avenir et leur mise en œuvre. Parmi les thèmes abordés : la condition de résidence, la question de la mutualisation ou encore l’articulation entre les emplois d’avenir et les professions réglementées.
Les emplois d’avenir s’adressent en priorité aux jeunes peu ou pas qualifiés. A titre exceptionnel, certains jeunes diplômés résidants dans des zones prioritaires, notamment en zones urbaines sensibles (ZUS), peuvent bénéficier de ce dispositif sous certaines conditions. Si les ZUS font partie des zones prioritaires, qu’en est-il des quartie
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