Proposer des pistes d’action pour sécuriser les parcours d’alternance. Tel est l’objet d’une étude réalisée par l’Association nationale des directeurs de mission locale (ANDML) (1), qui rend compte des expérimentations sociales menées depuis 2009 sur le sujet.
Si le nombre de jeunes suivis en missions locales ayant signé un contrat en alternance augmente (+ 6,6 % entre 2010 et 2011), il demeure peu élevé : en 2010, l’alternance (contrats d’apprentissage en majorité, mais aussi de professionnalisation) représentait 8 % de l’ensemble des contrats de travail obtenus pour le public reçu en entretien. De fait, les jeunes demandeurs d’emploi peu formés peinent à y avoir accès. Et le risque de rupture, estimé à 25 % pour l’ensemble des apprentis, est d’autant plus élevé que leur niveau de formation est faible. A cela s’ajoute des orientations disc
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