Trop souvent, celui-ci est considéré comme une activité dérivée de l’accueil permanent alors que c’est une discipline à part entière, avec ses propres contraintes et modes de fonctionnement. Les autorités ont longtemps imposé aux structures médico-sociales de prévoir deux à trois places d’accueil temporaire dans leur projet d’établissement pour que leur demande d’autorisation globale soit acceptée.
Les administrateurs s’y conformaient, bon gré mal gré, sans y consacrer l’approche nécessaire. Cela explique que bon nombre de places ne fonctionnent pas correctement ! Un état des lieux dans les Pays-de-la-Loire montre un taux d’occupation très faible ou la transformation de
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