« Renforcer l’efficacité de la puissance publique, qu’elle soit nationale ou locale, et […] améliorer la qualité du service public en s’appuyant sur les collectivités territoriales et en clarifiant l’exercice de leurs compétences. » Tel est l’objectif global affiché par le gouvernement avec sa réforme de la décentralisation et de l’action publique, désormais bel et bien lancée après sa présentation en conseil des ministres, le 10 avril dernier, sous la forme de trois projets de loi. Trois textes distincts et non plus un seul comme prévu à l’origine, le gouvernement ayant décidé de découper son imposante copie initiale de 124 articles en trois parties – sans rien changer sur le fond – face aux nombreuses critiques qu’elle a suscitées. Des critiques relayées en particulier du
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