A l’époque de la mondialisation, de l’interconnexion et des réseaux, l’heure n’est plus au nombrilisme : les établissements de formation au travail social sont nombreux à développer des actions de mobilité, de coopération ou d’échange entre pays, conformément d’ailleurs aux impulsions européennes (voir encadré, page 25). Mais « il est encore extrêmement difficile d’avoir une vision d’ensemble. Les projets internationaux étant souvent le fait de rencontres individuelles, quand ils ne sont pas tout simplement la chasse gardée des directeurs qui y voient une bouffée d’oxygène, la tendance est à ce que chaque école contractualise dans son coin », relève Manuel Pélissié, directeur génér
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