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Quelle place pour l’histoire dans la formation en travail social ?

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A l’heure où prévaut la logique des « compétences », parler d’histoire du travail social dans les formations des professionnels n’est-il pas hors sujet ? Pour Lilian Gravière, formateur à l’ITSRA (Institut du travail social de la région Auvergne) (1), notre époque ne peut rester sans mémoire des héritages et combats qui l’ont constituée, et plaide pour une « archéologie des savoirs en travail social ».

« L’historien Eric Hobsbawm a qualifié le XXe siècle d’“âge des extrêmes” (2). Il est trop tôt pour dire ce que sera le XXIe siècle, trop tôt encore pour savoir ce qui le structure profondément. Si l’on s’en tient au seul secteur social français, les témoignages et analyses de ses acteurs et spécialistes semblent converger vers un point. Le travail social entrerait dans une ère de rationalisation drastique des budgets, d’uniformisation des pratiques, dans un contexte marqué par l’aggravation d’une crise à la fois économique, systémique et sociétale, charriant son flot de conséquences humaines, anonymes, innombrables etterribles. Jamais peut-être le rôle d’observateur p

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