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La prévention spécialisée attaquée dans la Seine-Maritime. Et ailleurs ?

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« Quatre heures pour la prévention spécialisée. » Tel était, le 25 mars, le mot d’ordre de la mobilisation lancée à Rouen par le CNLAPS (Comité national de liaison des associations de prévention spécialisée) et des comités de soutien locaux, vent debout depuis plusieurs semaines contre la décision du conseil général (PS) de la Seine-Maritime d’amputer de moitié le budget alloué à cette mission de service public pour 2013 (1). Une décision jugée « brutale » et incompréhensible par les professionnels concernés, « alors que toutes les conditions d’un partenariat avec les associations avaient été posées », indique Bernard Heckel, délégué général du CNLAPS. Tandis que le conseil général justifie ce choix par un objectif de « rationalisation des dépenses », qui doit amener les services de prévention spécialisée à « recentrer leurs interventions sur leurs publics et missions prioritaires », Bernard Heckel estime que la variable d’ajustement budgétaire ne suffit pas à expliquer la situation. Elle dénote une « façon de penser l’action sociale comme un dispositif, et plus du tout comme une mission », déplore-t-il. Po

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