« Alors que 81 % des Français souhaiteraient “passer leurs derniers instants chez eux”, seuls 25,5 % des décès surviennent à domicile », relève l’Observatoire national de la fin de vie (ONFV) dans un rapport rendu public le 18 mars (1), tout en soulignant que vouloir finir sa vie chez soi ne signifie pas vouloir mourir à domicile. Le premier constat de l’Observatoire est le manque de données fiables et précises pour décrire les situations de fin de vie à domicile (peu d’enquêtes, peu de données administratives, « et surtout aucun système d’information national »). Aussi le rapport s’appuie-t-il, notamment, sur de nombreux témoignages de proches et de professionnels. Ses propositions visent à « ouvrir des pistes concrètes pour améliorer les conditions de la fin de vie à domicile ». Etant précisé que l’observatoire entend poursuivre la réflexion en
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