Mis en œuvre au quotidien par ? d’anciens militaires (33 %) et par des civils (67 %) issus d’horizons divers (moniteurs-éducateurs, éducateurs sportifs, éducateurs spécialisés, conseillers ? d’insertion, formateurs…), le projet pédagogique de l’EPIDE tente de concilier deux modèles a priori inconciliables : l’armée et le travail social. Si, après des débuts difficiles, l’encadrement s’est peu à peu professionnalisé (les intervenants reçoivent désormais à leur arrivée une formation commune et peuvent bénéficier d’une supervision) et diversifié (avec davantage de travailleurs sociaux), les avis continuent de diverger sur cet assemblage singulier.
Le personnel de l’EPIDE y voit globalement une greffe fructueuse. « Les éducateurs civils se montrent très réceptifs à l’approche des anciens militaires qui apportent un esprit de cohésion et de valorisation de l’effort collectif très apprécié par les jeunes », constate Estelle Piernas, dél
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