qui milite pour le droit des personnes handicapées à une vie affective et sexuelle, rappelle au président de la République son engagement d’« ouvrir le débat sur l’assistance sexuelle ». Dans la lettre qu’elle lui a adressée à l’issue de son séminaire du 8 février sur le sujet, l’association souligne que « sans aucune solution adéquate, les personnes handicapées sont condamnées à vivre dans une abstinence non choisie » (voir aussi ASH n° 2691-2692 du 14-01-11, page 27).
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