Ouvrir le débat sur « la nature des relations entre les acteurs, leurs moyens, la responsabilisation des professionnels et leur sécurisation dans leur exercice quotidien ». Tels sont, selon Laurent Puech, vice-président de l’ANAS (Association nationale des assistants de service social), les objectifs qui ont présidé à l’élaboration des cinq propositions de l’association pour « améliorer la protection de l’enfance », rendues publiques le 7 février (1). Malgré les imperfections de la loi du 5 mars 2007 – dont l’interprétation a pu entraîner des rigidités et une confusion dans les responsabilités –, « nous n’avons pas voulu la pointer comme le mauvais objet, précise-t-il. La réforme a été importante mais tout se joue dans la façon dont elle est mise en œuvre. » L’enjeu, pour l’association, est plutôt de se dégager des carcans in
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