D’après notre enquête, 21 % des responsables associatifs se disent « engagés » ou « intéressés » par la démarche. 3 % d’entre eux – et même 14 % dans les associations de dix salariés et plus – assurent qu’ils sont en train de préparer un dossier de recrutement. 60 % disent néanmoins encore « manquer d’informations » – notamment sur leurs responsabilités d’employeur et sur l’encadrement du salarié – pour se lancer.
L’enquête relève que plus une association est en difficulté financière, plus elle a tendance à penser à un emploi d’avenir. C’est à la fois légitime et dangereux.
Légitime parce que le salarié en emploi d’avenir est à moindre coût et je ne vois p
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