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« La participation des personnes en situation de pauvreté se construit pas à pas »

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Alors que le gouvernement souhaite faire davantage participer les personnes en situation de pauvreté à l’élaboration des politiques sociales (1), Florent Guéguen, directeur général de la FNARS, explique comment éviter une concertation alibi.
La FNARS a créé un collège « personnes accueillies » au sein de son conseil d’administration (2). Pourquoi ?

Nous avons engagé une réflexion sur la participation des personnes accueillies depuis 2000. A cette époque, nous avons installé un groupe d’appui national dédié à la participation. Composé à 75 % de personnes accueillies – contre 50 % à l’origine – et de professionnels, il alimente, par ses réflexions et ses propositions, la réflexion du conseil d’administration de la fédération. En créant, en juin 2011, au sein de ce dernier, un collège de deux « personnes accueillies », nous allons encore plus loin en ouvrant nos instances de gouvernance. A travers la mobilisation de l’expertise des usagers, il s’agit, pour la FNARS, non seulement d’améliorer ses prestations et ses dispositifs, mais aussi d’être une tête de p

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