« Aussi surprenant que cela puisse paraître, des études récentes montrent que la prédisposition au souci de l’autre existe dès la naissance (2). Ce changement de perspective est fondamental car il autorise à porter un autre regard sur l’homme ; au-delà de ses errements, de sa capacité de destruction, du seul intérêt pour soi valorisé idéologiquement et culturellement, l’homme porte en lui le souci de l’autre. L’homme est in fine un être relationnel. Encore faut-il l’éduquer en ce sens, d’autant que la vie ne fait pas l’économie de la complexité. L’homme se construisant dans la relation à l’autre, il s’élève par un lien qui relie et il s’atrophie dans un lien qui entrave. Nos identités sont façonnées par nos histoires relationnelles ; nos hé
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