Lorsqu’on évoque les relations entre la presse et le travail social, on est renvoyé à une série de plaintes : plaintes des travailleurs sociaux de ne pas être compris des médias, qui seraient plus intéressés par le fait divers ; plaintes des journalistes de ne pas réussir à contacter les professionnels, qui ouvriraient le parapluie du secret professionnel et/ou de leur hiérarchie. Comment sortir du dialogue de sourds ? Tout d’abord, en balayant chacun devant sa porte. Si la presse a une responsabilité dans la façon dont elle traite du travail social, les professionnels ont aussi, en partie
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