C’est plutôt une bonne chose. Cela traduit une prise de conscience que la situation n’est plus possible et qu’il faut redéfinir des relations équilibrées entre la puissance publique et le secteur associatif. On ne peut plus laisser se déliter la situation sous les coups de boutoir des réformes qui, comme l’introduction des appels à projets ou la réforme du régime d’autorisation des établissements, introduisent une logique d’instrumentalisation.
L’action sociale est née au départ de l’initiative associative, qui a pris en charge les problèmes sociaux. Mais peu à peu les autorités publiques, soucieuses d’une mise en cohérence, ont construit un modèle re
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