« Ni les réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté (RASED), ni les aides spécialisées des enseignants qui y travaillent n’ont été mentionnés dans le rapport sur la refondation de l’école [voir ce numéro, page 18] », s’indigne Maryse Charmet, présidente de la Fédération nationale des associations de rééducateurs de l’Education nationale (Fnaren). Avec la Fédération nationale des associations de maîtres E et l’Association française des psychologues de l’Education nationale (AFPEN), elle juge « incompréhensible et incohérent que la place des aides spécialisées aux élèves qui en ont besoin ne soit pas clairement et durablement réaffirmée dans l’école » au moment de l’écriture de la loi d’orientation et de programmation, et rappelle que les aides spécialisées qu’apportent les professionnels de ces réseaux seront « incontournables » pour que l’école fasse « réussir tous les élèves dont elle a la charge ». L’autre inquiétude de la Fnaren porte sur la formation des enseignants spécialisés. « Le nombre d’enseignants qui se sont engagés dans la formation spécialisée est passé de 300 en 2
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