Recevoir la newsletter

Selon le CNLE, il faut mettre en œuvre un « reste pour vivre » pour les ménages pauvres

Article réservé aux abonnés

Face à l’intensification de la pauvreté sous l’effet de la crise économique et malgré les diverses aides accordées, les ménages précaires ne parviennent plus à satisfaire leurs besoins primaires, constate le Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale. La définition d’un « reste pour vivre » doit permettre de leur garantir un revenu minimum décent.

Il y a « urgence à mettre en œuvre de manière effective le droit pour les personnes en situation de pauvreté d’accéder à des moyens convenables d’existence », alerte le président du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE), Etienne Pinte, dans un rapport (1) remis le 4 septembre à Marisol Touraine et à Marie-Arlette Carlotti, respectivement ministre des Affaires sociales et ministre déléguée chargée de la lutte contre l’exclusion. Un groupe de travail constitué en 2011 au sein de l’instance a planché sur la notion de « reste à vivre », rebaptisée « reste pour vivre ». Il tente aujourd’hui d’en donner une définition et formule par ailleurs des propositions pour amél

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Dans les textes

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15