Logement d’insertion, adapté, intermédiaire, temporaire… Si ces dénominations un peu vagues recouvrent une diversité d’opérateurs, de statuts d’occupation ou de formes d’aide auprès des ménages, elles renvoient à un même objectif : offrir une solution d’insertion par le logement à des publics fragilisés qui n’ont pas, ou plus, besoin d’une prise en charge en centre d’hébergement, sans pouvoir accéder à un logement ordinaire. Ce secteur, habituellement désigné par ce qu’il n’est pas – « ni hébergement, ni logement de droit commun » –, trouve donc toute sa place dans la logique du « logement d’abord » engagée par le précédent gouvernement, mais il est reste mal identifié et peu valorisé.
Ce constat a conduit Alain Régnier, délégué interministéri
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