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Des pistes pour une meilleure prise en charge de la santé mentale des demandeurs d’asile

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Dans un rapport d’étude, le réseau Samdarra souligne l’inadéquation de la prise en charge de la santé mentale des demandeurs d’asile et des réfugiés. Il émet des recommandations pour faciliter le travail en réseau, parmi lesquelles la mise en place de « pôles de ressources et de coordination » locaux et d’une instance nationale interinstitutionnelle.

Les demandeurs d’asile et les réfugiés, des usagers de la santé mentale comme les autres ? Dans un « état des lieux national de la prise en compte et de la prise en charge de la santé mentale » de ce public au sein du dispositif national d’accueil, le réseau Samdarra (1), qui œuvre en Rhône-Alpes pour faciliter leur accès aux soins, livre le fruit d’une réflexion de terrain menée pendant un an (2) sur ce sujet complexe. Car si la spécificité du statut des migrants ne doit pas être une dimension réductrice de leur identité, elle n’en appelle pas moins des réponses particulières. « Ce travail met en lumière la nécessité de penser des actions qui vont au-delà des clivages institutionnels et l’importance de l’approche psychosociale, qui met en relation la sou

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