L’après-midi démarre toujours par un café, pris dans la cuisine du 116, route du Polygone, à Strasbourg. Il y a là Dominique Steinberger, directeur de l’Association pour une recherche pédagogique ouverte en milieu tsigane (Arpomt) (1), sa femme Isabelle, Serge Steinberger, dit « Peso » – un « cousin éloigné » -, ainsi que l’animatrice Marion Willard et une jeune conseillère en économie sociale et familiale (CESF), Johanna Quirin, arrivée depuis un mois seulement. L’équipe de l’Arpomt est volontairement mixte, associant voyageurs et non-voyageurs. Une volonté de Dominique Steinberger, son fondateur, afin de créer une passerelle entre le monde des manouches et celui des gadjé, les sédentaires.
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