Depuis Bruno Bettelheim, les contes de fées ont trouvé leur place dans la psychopathologie des enfants. Mais avec l’horreur fantastique, n’est-on pas très loin du Petit Chaperon rouge ?
Il y a au contraire beaucoup de points communs entre les contes de fées et les récits d’horreur fantastique. En particulier leurs racines dans une tradition orale ancienne. La différence est que le conte de fées est un monde très cohérent avec un aspect fantastique mais pas inquiétant, alors que, dans l’horreur fantastique, il y a une dimension angoissante. Le conte de fées a une structure rassurante, avec un début et une fin heureuses et des formules cons
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