« Les éléments d’une politique de prise en charge des victimes existent. La France n’a en ce domaine ni complexes à nourrir, ni retard à combler », souligne la députée (UMP) de l’Yonne, Marie-Louise Fort, qui, à l’occasion de la journée européenne des victimes, le 22 février, a remis au ministre de l’Intérieur un rapport sur les dispositifs d’aide aux victimes (1). Toutefois, précise l’élue, cette politique doit « gagner en cohérence et en efficacité » et notamment « passer d’une logique d’acteurs à une logique de système, c’est-à-dire systématiser les procédures, couvrir harmonieusement le territoire, pérenniser les financements, rassurer les intervenants sur le devenir des actions mises en œuvre ». Après avoir évalué les dispositifs d’aide aux victimes existants, Marie-Louise Fort formule des
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?