Il est 9 heures du matin. Tout le monde, ou presque, dort encore aux Berges de l’Ain, au bord du canal du Rhône au Rhin, à Strasbourg. Le thermomètre n’affiche que quelques degrés, pas un temps à mettre un chien ni son maître dehors. Pourtant, Frédéric Schultz, technicien de l’intervention sociale et familiale (TISF) et référent canin du « village », toque gentiment à la porte des propriétaires d’animaux. Trente minutes plus tard, les duos maîtres-chiens se regroupent à l’entrée de la structure, volontaires pour participer à un court atelier canin, animé par deux permanentes de l’association Lianes (Lien avec l’animal et contre l’exclusion sociale). Sont au rendez-vous Loïc Rougier, la petite trentaine, escorté par Anubis, jeune mâle croisé noir e
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