Vous avez invité 12 pédagogues, français et étrangers, à raconter leurs expériences. Quels sont ces extrêmes auxquels ils se confrontent ?
Il s’agit souvent du contexte dans lequel se déroule l’action, à l’image du projet « Question d’équilibre » avec les enfants des rues au Portugal. Ce peut être aussi les situations individuelles des jeunes, leurs difficultés propres, comme avec l’expérience d’insertion de mineurs délinquants en Pologne. Souvent, c’est le caractère même du projet qui est extrême. Toutes les actions décrites s’enracinent dans des prises de position pédagogiques risquées et originales. D’une façon générale, nous voulions montrer que, même dans des situations très difficiles, dans des contextes parf
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