Un « oui » de principe, assorti de beaucoup de « mais ». C’est ce qu’ont, à l’unisson, exprimé les représentants des associations, des personnes en situation de précarité, du logement d’insertion, des bailleurs et des départements lors des assises nationales pour le « logement d’abord », le 9 décembre, conclusion d’une série de rencontres régionales commencée en octobre (1). Les travaux qui ont abouti aux priorités fixées par le secrétaire d’Etat au logement (voir ce numéro, page 12) les ont en effet laissés sur leur faim, les conditions de mise en œuvre de la réforme étant loin d’être réunies. D’autant que le ministère renvoie aux préfets la mise en place des mesures « opérationnelles » et, surtout, l’organisation de la concertation nécessaire.
Les assises n’ont « pas permi
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?