Déscolarisation partielle ou totale des enfants concernés, inquiétude des familles en attente de solutions, turnover des personnels, désarroi des enseignants… « Globalement, la situation est la même que les années précédentes : on est encore et toujours dans le bricolage », regrette Thierry Nouvel, directeur général de l’Unapei (Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis). « Bidouillage », résume Muriel Michelin, présidente de l’UNEAVS (Union nationale des employés, auxiliaires de vie scolaire et assistants de scolarisation). « Comme d’habitude, pour certains enfants handicapés, la vraie rentrée s’est faite un mois après les autres », observe Sophie Cluzel, président
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?