« En juin 2011, pour la énième fois sous la Ve République, et après un an de tergiversations politiques, les parlementaires ont adopté une nouvelle loi relative à l’intégration, à l’immigration et la nationalité (2). Au-delà des dispositions restreignant l’accès au séjour pour les étrangers malades ou de celles maintenant le “délit de solidarité”, les parlementaires ont pris en compte – enfin – la situation des mineurs étrangers isolés en adoptant une mesure phare : l’octroi de titres de séjour pour les jeunes pris en charge par l’aide sociale à l’enfance (ASE) entre 16 et 18
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