« Lorsqu’en 2002 la loi est venue nous dire que nous devions faire une évaluation externe, nous avons eu des sueurs froides. Etions-nous vraiment dans les clous ? Qu’allait-il se passer ? » Dans une auberge de jeunesse de Dunkerque, Charley Remy, directeur qualité de l’AFEJI (1) de 2005 à 2011, rappelle à la soixantaine de cadres de l’association présents le pari « un peu fou » qu’a représentée l’aventure de l’évaluation externe dans laquelle s’est lancée l’importante association nordiste à la fin de l’année dernière. Avec ses 47 établissements et ses 2 000 professionnels accompagnant tout au long de l’année plus de 12 500 personnes – adolescents et adultes en situation de handicap ou en difficulté sociale, personnes âgées –, l’AFEJI doit relever « un challenge associa
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