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Le CNLE veut associer plus étroitement les personnes pauvres à l’élaboration des politiques publiques

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En décembre 2010, lors de l’installation des nouveaux membres du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE) (1), la ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale a demandé à l’instance de créer en son sein un groupe de travail chargé d’étudier les possibilités de développer la représentation des usagers dans les instances nationales, les structures de prise en charge et les collectivités territoriales. En pratique, ce groupe de travail s’est plus particulièrement penché sur la participation des personnes en situation de pauvreté et de précarité. Le 21 octobre, il a remis à Roselyne Bachelot ses recommandations pour améliorer la participation de ces personnes à l’élaboration, à la mise en œuvre et à l’évaluation des politiques publiques qui les concernent (2).

Une mise en œuvre progressive de la participation…

Selon le groupe de travail, « l’impératif participatif » se développe progressivement tant sur le plan législatif que sur celui des pratiques sociales (débats citoyens, forums…) et répond aux enjeux variés d’amélioration de la gouvernance, de l’efficacité de l’ac

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