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Le curé du bidonville

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Le film de Caroline Glorion « Joseph l’insoumis » nous ramène au tournant des années 1960, quand le père Wresinski, installé au cœur du bidonville de Noisy-le-Grand, engage sa lutte contre la grande pauvreté, avant d’y fonder l’association qui deviendra ATD quart monde.

Le combat contre la pauvreté du père Joseph Wresinski, fondateur de l’association ATD quart monde, est conté dans le film Joseph l’insoumis, de Caroline Glorion. La réalisatrice, ancienne journaliste, parvient à montrer, sans angélisme, comment l’ecclésiastique a dû lutter pour être accepté dans le bidonville de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), quand il s’y est installé en juillet 1956. Dans des cabanes de bois et de tôle ondulée, vivent quelque 250 familles, dans une extrême pauvreté. Un bidonville qui « réveille douloureusement les souvenirs de [son] enfance », comme le confie le père Joseph, incarné à l’écran par Jacques Weber. Ceux qui l’ont rencontré reconnaî­tront le franc-parler, le charisme, la chaleur, et même les bégaiements qui caractérisent le personnage.

Le « rachaï », comme on l’appelle à Noisy-le-Grand, chas

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