On tente souvent d’appréhender l’exclusion en observant la seule région parisienne. Or vous avez choisi d’étudier les six grandes métropoles régionales. Pourquoi ?
Les études sur Paris et sa région ne manquent pas. En revanche, la connaissance des réalités de l’exclusion sur le territoire français reste insuffisante. Nous avons donc étudié les six grandes métropoles régionales en cherchant à savoir si leur géographie de l’exclusion était semblable à celle de Paris. Il s’agit de Lille, Lyon, Marseille, Nice, Toulouse et Bordeaux, qui correspondent au deuxième niveau de l’armature urbaine française. Le poids démographique de ces villes étant assez proche, il était logique d’essayer de les comparer.
Vous avez élaboré pour cela un « indicateur synthé
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?