Recevoir la newsletter

IVG ET CONTRACEPTION : « NOUS EN AVONS ASSEZ DES PROMESSES NON TENUES »

Article réservé aux abonnés

Alors que la loi du 4 juillet 2001 relative à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) et à la contraception fête ses dix ans, la volonté politique de l’appliquer fait toujours cruellement défaut, dénonce Marie-Pierre Martinet, secrétaire générale du Planning familial.

Quel regard portez-vous sur la loi du 4 juillet 2001 ?

C’est une avancée dans la reconnaissance du droit des femmes à maîtriser leur fécondité. Cette loi a allongé les délais de 10 à 12 semaines de grossesse pour avorter, alignant la France sur la moyenne européenne.

Elle a cherché également à faciliter l’accès à l’IVG tant des majeures, par la suppression de l’entretien obligatoire, que des mineures, qui n’ont plus besoin d’avoir l’autorisation parentale même si elles doivent être accompagnées par un adulte référent. En outre, elle a autorisé la contraception définitive et ainsi permis à des hommes et des femmes de se faire stériliser.

Dix ans après, comment ce texte est-il appliqué sur le territoire ?

Alors que l’accès à l’avortement devait devenir un véritable droit, on constate de nombreuses difficultés. L’acte d’IVG n�

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Questions à

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15