Installés en mars dernier dans le cadre de l’affaire « Thierry Meilhon », auteur présumé du meurtre de la jeune Laëtitia Perrais dans la Loire-Atlantique (1), les deux groupes de travail sur les services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP), composés de personnels du ministère de la Justice – magistrats, directeurs de maisons d’arrêt, directeurs de SPIP et autres professionnels de l’administration pénitentiaire –, ont remis leurs conclusions à Michel Mercier le 30 juin (2). Le premier a planché sur les moyens d’améliorer l’organisation et le fonctionnement des SPIP, le second devait établir des référentiels pour le suivi des personnes placées sous main de justice. Une partie de leurs constats et de leurs préconisat
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